Grand Angle et le tourisme durable

Que signifie réellement voyager responsablement ou durablement ? C’est une question aussi large que complexe, tout comme la signification de ces termes qui peuvent générer parfois de l'ambiguïté et de l'incompréhension. Nous allons dans cet article vous présenter des actions et chiffres concrets mis en place par Grand Angle pour vous offrir un voyage plus durable et responsable. Nos actions s’articulent autour de 3 piliers :  Mesurer, Réduire et Contribuer.

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Mesurer l’impact de nos voyages

Pour calculer le bilan carbone de nos séjours, Grand Angle s’est appuyé sur le calculateur développé par l’ADEME, la référence en la matière ! Cet outil calcule l'impact en kg CO2e (équivalent en kg de CO2) de vos trajets en quelques clics : indiquez votre ville de départ et obtenez une évaluation des équivalents des émissions de CO2 des différents moyens de transport disponibles.

Nous avons choisi trois exemples pour illustrer les différents facteurs faisant varier le bilan carbone de votre voyage : Le tour du Mont Blanc (France, Italie, Suisse) avec acheminement en voiture, un voyage en Crête (Grèce) avec acheminement en avion et une traversée dans le Vercors avec acheminement en train.

Le bilan CO2 du séjour Tour du Mont blanc

Considérons premièrement la consommation liée à un aller-retour entre votre domicile (pour l’exemple Paris) et votre lieu de rendez-vous (ici Chamonix), c’est :

  • 130 kg de CO2 par personne pour une voiture thermique partagée par 2 personnes (environ 1250 km aller-retour),
  • ou 3 kg de CO2 par personne en train,
  • ou 40 kg de CO2 par personne en bus,
  • ou 230 kg en avion et taxi.

Pendant votre séjour, votre consommation par personne de carbone sera de :

  • 42 kg CO2 provenant de votre hébergement : 6 nuits x 7 kg CO2/nuit
  • 34 kg CO2 en moyenne provenant des repas : 17 repas x 2 kg CO2/repas. Selon l'ADEME, le repas moyen d'un Français est estimé à 2040 grammes de CO2e. Notons que l’impact carbone d’un repas peut varier très significativement selon les aliments, par exemple un repas végétarien rejette 0.5 kg de CO2 contre un repas avec du bœuf, qui émet 7 kg de CO2. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre sur le site de l'ADEME.
  • 8.4 kg CO2 provenant des transferts de bagages : nous mutualisons le transfert de bagage avec en moyenne 20 bagages par transfert.
  • 1 kg CO2 provenant des transferts en transport en commun (bus).
Le bilan carbone du voyage Tour du Mont-Blanc en 7 jours  ​
Le bilan carbone du voyage Tour du Mont-Blanc en 7 jours

 

Le bilan carbone du voyage par personne est d’environ 212 kg de CO2e, dont environ 85 kg CO2e pour le séjour sur place. Cette valeur est dans la moyenne de la consommation moyenne d’une personne en France pendant 7 jours (24.7 kg de CO2 par jour, ou 172 kg de CO2 pour 7 jours).

Le bilan CO2 de notre séjour en Crète, Grèce

Bien qu'il soit théoriquement possible de vous rendre en Crète par des moyens alternatifs, la plupart d’entre nous nous y rendrons en avion. Comptez environ 850 kg de CO2 par voyageur pour votre aller-retour en avion (environ 4700 km depuis Paris aller-retour).

Pendant votre séjour, votre impact carbone par personne sera de :

  • 49 kg CO2 provenant de votre hébergement : 6 nuits x 7kg CO2/nuit.
  • 40 kg CO2 en moyenne provenant des repas : 20 repas x 2 kg CO2/repas. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre sur le site de l'ADEME.
  • 40 kg CO2 provenant des transferts de votre bagage : nous transportons en moyenne 2 bagages par taxi pendant deux étapes. Nous utilisons les ferrys publics entre les villages côtiers pour les autres étapes.
  • 17 kg CO2 provenant des transferts en transport en commun (bus). 
 Bilan carbone du voyage en Crète, Grèce en 8 jours
 Bilan carbone du voyage en Crète, Grèce en 8 jours

 

Le bilan carbone du voyage par personne est d’environ 980 kg de CO2, dont environ 149 kg CO2e sur place, selon les outils et sources françaises, à défaut d’avoir les données grecques. Cette valeur est quatre fois supérieure à la consommation moyenne d’une personne en France pendant 7 jours (24.7 kg de CO2 par jour, ou 172 kg de CO2 pour 7 jours).

Le bilan CO2 du séjour dans le Vercors, du Trièves au Mont Aiguille

Considérons premièrement la consommation liée à un aller-retour entre votre domicile (pour l’exemple depuis Paris) et votre lieu de rendez-vous (ici Clelles), c’est-à-dire environ 1200km aller-retour :

  • 136 kg de CO2 par personne pour une voiture thermique partagée par 2 personnes,
  • ou 3 kg de CO2 par personne en train,
  • ou 38 kg de CO2 par personne en bus,

Le Vercors est très facile d’accès en train, c’est le moyen de transport privilégié par les voyageurs pour ce séjour.

Pendant votre séjour, votre consommation par personne de carbone sera de :

  • 42 kg CO2 provenant de votre hébergement : 6 nuits x 7kg CO2/nuit.
  • 38 kg CO2 en moyenne provenant des repas : 19 repas x 2 kg CO2/repas. Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre sur le site de l'ADEME.
  • 11 kg CO2 provenant des transferts de votre bagage.
  • 0 kg CO2 provenant des transferts en transport en commun.
  • 3 kg CO2 provenant de l’acheminement.
 Bilan carbone du voyage dans le Vercors, du Trièves au Mont Aiguille en 7 jours
 Bilan carbone du voyage dans le Vercors, du Trièves au Mont Aiguille en 7 jours

 

Le bilan carbone du voyage par personne est d’environ 73 kg de CO2, dont 70 kg CO2e sur place. Cet exemple de voyage est celui ayant le bilan carbone le plus bas, grâce au transport en train. Cette valeur est nettement inférieure à la consommation moyenne d’une personne en France pendant 7 jours (24.7 kg de CO2 par jour, ou 172 kg de CO2 pour 7 jours).

La comparaison des bilans carbone des 3 voyages

En comparant les voyages au Tour du Mont-Blanc, en Crète et dans le Vercors, nous constatons que les différents facteurs, à savoir l’acheminement, l’hébergement, les repas, les transferts de bagages et de voyageurs font varier le bilan carbone de chaque voyage. Le voyage en Crète, avec acheminement en avion, est largement plus émetteur en kg CO2e comparé aux deux autres voyages et la consommation moyenne d’une personne en France pendant 7 jours.

La comparaison des émissions de CO2 des trois voyages avec l'émission quotidienne d'un Français
La comparaison des émissions de CO2 des trois voyages avec celles quotidiennes d'un Français

 

La mesure du bilan carbone permet d’identifier les axes de réduction des émissions CO2 de nos voyages et d’informer les voyageurs lors de leur choix de voyage.

L’acheminement à destination est souvent majoritaire dans le bilan carbone de votre voyage. Il peut représenter 80% des émissions du voyage dès lors que l’on opte pour l'avion, mais moins de 5% lorsque l'on privilégie le train ! Il est donc le premier levier d’action des voyageurs.

Plus la durée à destination est longue, plus l’impact carbone par jour diminue, tout particulièrement pour les voyages ou l’acheminement est gourmand en CO2.

Par nature, le voyage émet des gaz à effet de serre. Il a cependant de nombreuses vertus et bienfaits économiques et sociaux. Grand Angle souhaite encourager une transition des voyages à forte empreinte carbone vers des voyages moins polluants et avec un meilleur bilan carbone.

Quels sont nos pistes d'amélioration mieux mesurer l'impact carbone de nos voyages?

  • La précision des données. Les données des autres pays peuvent être sensiblement différentes pour mesurer l'impact du voyage sur place, tout comme celles de nos clients pour lesquelles il est parfois difficile d'estimer précisément le l'impact de l'acheminement. Cela reste néanmoins un bon ordre de grandeur pour calculer l'impact carbone du voyage et identifier les postes d'amélioration.
  • Mieux informer les voyageurs, en mettant en avant sur chaque voyage le comparateur de l'Ademe pour l'acheminement, et le bilan carbone moyen du voyage sur place.
  • Le calcul du bilan carbone total de Grand Angle, afin de suivre l'évolution de ce dernier.

Réduire l’impact de nos voyages

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Grand Angle a fait plusieurs choix stratégiques et mené plusieurs actions ces dernières années afin de réduire son empreinte carbone, son impact environnemental et celui des voyageurs, que ce soit dans le choix des destinations (l’empreinte liée à l’acheminement) ou pendant le voyage lui-même. 

  • Le choix des destinations

Grand Angle a fait le choix de l’Europe, qui représente désormais 95% de notre catalogue de voyages. Près de 400 voyages (2/3 de nos séjours) sont à moins de 1,000km de Paris ou Lyon (qui constituent le bassin géographique le plus important de notre clientèle) : en France, en Allemagne, en Italie, en Autriche et entre autres pays frontaliers. Nous faisons la part belle à la France avec un choix de près de plus de 200 voyages.

Pourcentage de voyages à moins de 1000km de Paris ou Lyon

Nous avons progressivement réduit notre gamme de voyage long courrier pour proposer des séjours accessibles pour leur majorité en voiture ou en train. Concrètement cela signifie que nous ne proposons plus au catalogue le Québec, la Nouvelle Zélande ou encore l’Ouest Américain. Nous avons également considérablement réduit notre gamme de voyages en Afrique et en Asie. Dans la continuité de cette démarche, parmi les 60 nouveaux voyages proposés par Grand Angle ces dernières années, 45 d'entre eux se trouvent en France ou dans les pays limitrophes. Cette spécialisation en Europe s’accompagne mécaniquement d’une réduction de l’empreinte carbone de nos voyageurs. Cette réduction doit toutefois être nuancée par la hausse globale du nombre de voyageurs ces dernières années.

Répartition de nos voyages par zone géographique

  • Les transports

“C’est (aussi) à nous de vous faire préférer le train !”, et pas seulement à la SNCF. Un voyageur mieux informé est un voyageur plus avisé dans son choix de moyen de transport. Là où c’est possible, préférons le train ! Avec plus de 400 voyages dans un périmètre de 1000 km à partir de Paris ou Lyon, vous avez l’embarra du choix ! Malgré leur proximité il faut noter que de nombreux points de départ de nos randonnées peuvent s'avérer parfois compliqués d'accès par leur isolement, ce qui peut constituer un frein.

Le covoiturage est aussi un moyen facile de réduire son impact CO2. Nous réfléchissons aussi à la mise en place d’un service de covoiturage gratuit. L’objectif ? Faciliter la connexion entre nos voyageurs lorsqu’ils souhaitent coopérer pour rejoindre le lieu de départ de leur séjour.

Enfin, vous retrouverez toutes les informations pour vous rendre au point de départ, en train, en voiture ou autre, sur les pages de tous nos séjours !

Part modale des moyens de transport pour rejoindre le point de départ de nos voyages

  • Les activités douces pour le corps, l’esprit et la planète

Quoi de mieux que la marche ou le vélo pour accéder à des paysages grandioses ou découvrir une région, tout en minimisant votre empreinte carbone. Grand Angle a fait le choix pour ses voyages de ces activités douces : notre identité depuis toujours !  

“L’aventure en vaut la peine” (Aristote), encore faut-il pouvoir en profiter ! Le voyage a de nombreuses vertus pour les populations locales, et permet de s’ouvrir aux autres. Pour en profiter pleinement, prenez le temps et préférez des voyages d’une semaine au moins ! Vous réduirez en plus votre impact carbone par jour de voyage. Chez Grand Angle, nous ne proposons pas de séjour très court comme des weekends, et avons développé de nombreux voyages de 15 jours, comme nos grandes traversées, ou de grands itinéraires qui peuvent se combiner pour plusieurs semaines : la Vélodyssée, la Loire, le Danube, le chemin de Stevenson, de St Jacques de Compostelle, et bien d’autres.

  • Pendant le voyage

Vous cherchez un voyage à vélo mais ne disposez pas de bicyclette adaptée ? Pas d’inquiétude, Grand Angle propose systématiquement les vélos à la location. Vous êtes plus de 8 personnes sur 10 à opter pour cette solution, ce qui peut permettre d’éviter l’achat de nouveau matériel. Il peut toutefois y avoir également un effet rebond à la location, car le parc de location de vélos peut venir s'ajouter au parc privé, et non s'y substituer. Nombreux sont parmi vous qui ont es vélos personnels mais qui préfèrent la location de vélo pour des raisons logistiques,

Dans le but de limiter les déchets, Grand Angle a opté pour l’utilisation des pochettes de voyage en tissus, réutilisables pour d'autres occasions. Le dossier de voyage est séparé pour ne pas avoir de dossier en double avec le dossier numérique (le numérique existe dans tous les cas, le papier ne fait que se rajouter). Sur nos séjours, les guides sont encouragés à utiliser des produits biologiques, en vrac et locaux pour leur pique-nique. Des sacs réutilisables et réutilisés en tissu sont utilisés pour transporter la nourriture.

Contribuer 

Parce que quoi qu'on fasse, n'importe quelle activité "consomme" du CO2. Dans l’ordre des priorités, nous opérons en amont à une réduction des émissions CO2 de nos voyages à la source. Dans un deuxième temps, et seulement après la mise en place d’efforts importants pour la réduction, Grand Angle contribuera à financer des projets de réduction des émissions de CO2, au-delà du périmètre de l’entreprise.

Particulièrement, nous avons choisi de nous orienter vers des projets labelisés « Verra » ou « Gold Standard ». Ces labels garantissent un engagement fiable dans des projets de contribution à la réduction des émissions CO2.

En effet, nous contribuons à soutenir un fonds de dotation au sein de la Fondation Insolite Bâtisseur Philippe Romero, qui finance des projets de lutte contre le réchauffement climatique, d’aide aux migrants et de soutien d’associations œuvrant au développement économique et social des pays plus défavorisés. Plus particulièrement, nous nous intéressons aux projets ayant pour but d’accompagner les communautés rurales dans la reforestation et la préservation de leurs écosystèmes.

Il s’agit de mettre en place des actions concrètes à travers ces projets, notamment la plantation de mangrove en Indonésie et au Sénégal pour absorber le CO2.

Au Sénégal, nous nous engageons également à contribuer à la restauration de la mangrove en lien avec les populations des zones forestières. Les palétuviers ayant été utilisés excessivement pour le bois de chauffe, le bois de construction et le charbon de bois, 25% des mangroves sénégalaises ont disparu. La replantation des mangroves contribuera à capter des gaz à effet de serre.

La mangrove au Sénégal, Fondation Insolite Bâtisseur Philippe Romero © Marion Osmont
La mangrove au Sénégal, Fondation Insolite Bâtisseur Philippe Romero © Marion Osmont

 

En Indonésie, une forte industrialisation du pays a conduit à la destruction des forêts. Les mangroves, qui sont un écosystème très riche permettant de protéger le littoral contre l’érosion et les tempêtes, ont été particulièrement impactées. Ce programme de reforestation est fondamental tant sur le plan économique qu’écologique pour l’Indonésie.

La mangrove en Indonésie, Fondation Insolite Bâtisseur Philippe Romero © Nicolas Van Ingen
La mangrove en Indonésie, Fondation Insolite Bâtisseur Philippe Romero © Nicolas Van Ingen

 

La raison justifiant que ces projets soient dans l'hémisphère sud est le climat. En effet, les projets européens sont 3 fois plus faibles en termes de rendement, dû à l’absence d’un climat tropical adapté à la croissance de ces écosystèmes. Il est également important d’insister sur le fait que les principales victimes du dérèglement climatique sont dans les pays du Sud, et non dans les principaux pays responsables, notamment ceux du G7. Cela semble donc évident de soutenir des projets finançant la préservation du milieu forestier dans les pays du Sud. D’autant plus que selon la Fondation Insolite Bâtisseur, leurs forêts jouent un rôle clé dans la régulation de phénomènes climatiques, comme pour le stockage de carbone atmosphérique, la constitution de l'habitat de 50% des espèces animales et végétales ou encore pour satisfaire les besoins sanitaires et nutritionnels primaires de 80% de la population dans les pays en développement.

Nous sommes conscients que la contribution au financement de projets de réduction des émissions de CO2 n'est pas une solution miracle. Le tourisme restera une activité polluante quoi qu’il en soit. Mais dire que les émissions de CO2 engendrés par les voyages seraient totalement « compensées » serait se donner bonne conscience : il n’est pas possible d’annuler les émissions rejetées.

Mais, il est possible de soutenir des projets labelisés pour contribuer à une absorption du CO2, tout comme il est possible de transitionner nos voyages à forte empreinte carbone vers des voyages vertueux et bas en carbone. Cela permettra de réduire l’impact par voyageur et par jour, et de répondre à nos objectifs en termes de durabilité.

Bien plus qu’une initiative individuelle, nous mutualisons nos efforts avec d’autres membres du SETO (Syndicat des Entreprises du Tour Operating) et faisons un pas vers des actions plus concrètes pour contribuer à diminuer les émissions carbones résultantes des voyages.

L’engagement auprès d’Agir pour un Tourisme Responsable (ATR)

Grand Angle est aussi membre d'ATR (Agir pour un Tourisme Responsable) dont la conformité avec le label a été certifiée par Ecocert environnement. Les valeurs communes du label, partagées par tous ses membres, sont représentées par : la transparence (entre le client et l’agence de voyage), le partenariat (entre les prestataires locaux et l’agence de voyage) et la cohérence (synonyme de bonne communication au sein de l’équipe de l’agence de voyage).

Être membre d’ATR nous engage à :

  • Promouvoir un tourisme de qualité
  • Respecter l’environnement, le patrimoine et les populations locales
  • Sensibiliser les voyageurs aux coutumes locales
  • Informer les voyageurs en toute transparence sur leurs conditions de voyage

Pour préparer au mieux votre voyage, nous vous invitons à prendre connaissance de la charte éthique du voyageur

Notre engagement ferme dans une démarche de tourisme responsable est appuyé par un audit de certification afin de vérifier la conformité de Grand Angle aux exigences du label ATR. Ceci nous garantit un maintien du label ATR au sein de l’entreprise. A travers cet audit, les objectifs affichés en termes de gestion environnementale s’avèrent être un point fort pour l’entreprise (évaluation des émissions et compensation carbone, gestion des déchets notamment des plastiques...).

Cependant, plusieurs opportunités d’amélioration sont encore à mettre en place, notamment le fait de fournir encore davantage d'information aux clients sur les enjeux du tourisme responsable (sur le site web, le questionnaire de satisfaction, les fiches techniques, etc.) mais aussi d’encourager les relations avec les partenaires locaux, d’encourager les transports alternatifs clients, etc.